Une université internationale intensive en recherche pour répondre aux enjeux de demain
“Le 21ème siècle est celui de la transition sociétale. Traversé par des révolutions technologiques, économiques, politiques et environnementales, il nécessite une réinvention des rapports de l’Homme à la Cité. Empreints d’engagement et de sens, ces rapports doivent permettre aux citoyens d’être acteurs d’un monde dont ils sauront appréhender la complexité.
L’enseignement supérieur joue, à cet égard, un rôle majeur. Ces citoyens éclairés doivent en effet acquérir des savoirs transversaux qui, loin de les enfermer dans une spécialité, leur assurent une compréhension globale et décloisonnée des grands enjeux sociétaux. Refusant toute forme de résignation, ils entreprennent le monde et contribuent à son brassage culturel et intellectuel.
Car le grand défi que doit aujourd’hui relever l’enseignement supérieur est celui de permettre aux générations nouvelles de faire face à un monde en perpétuelle réinvention, d’ordonner des informations dont l’abondance nuit à la compréhension, de se montrer réactives tout en résistant à l’immédiateté de la réaction, de mettre savoirs et compétences au service d’une action inscrite dans un temps long et d’expérimenter des solutions locales qui n’ignorent pas leur nécessaire retentissement mondial.
Le défi est aussi impérieux que difficile à relever. Dans une France où cohabitent des institutions d’enseignement supérieur et de recherche d’une grande diversité, dont les moyens financiers sont limités, qui peinent parfois à s’internationaliser et qui sont depuis quelques années soumis à une concurrence accrue, il importe de proposer un nouveau modèle universitaire qui permette de sortir du « milieu de gamme » (Jean-Marc Schlenker, ancien président du comité de suivi de la loi de 2007) dans lequel on le confine trop souvent.
Pour cette raison, il n’est d’autre solution que de se réinventer en intégrant dans un projet commun des institutions d’excellence variées afin de créer une Université de recherche internationale qui, grâce aux fonds I-SITE, gagnera de manière décisive en visibilité et en attractivité.”
L’enseignement supérieur joue, à cet égard, un rôle majeur. Ces citoyens éclairés doivent en effet acquérir des savoirs transversaux qui, loin de les enfermer dans une spécialité, leur assurent une compréhension globale et décloisonnée des grands enjeux sociétaux. Refusant toute forme de résignation, ils entreprennent le monde et contribuent à son brassage culturel et intellectuel.
Car le grand défi que doit aujourd’hui relever l’enseignement supérieur est celui de permettre aux générations nouvelles de faire face à un monde en perpétuelle réinvention, d’ordonner des informations dont l’abondance nuit à la compréhension, de se montrer réactives tout en résistant à l’immédiateté de la réaction, de mettre savoirs et compétences au service d’une action inscrite dans un temps long et d’expérimenter des solutions locales qui n’ignorent pas leur nécessaire retentissement mondial.
Le défi est aussi impérieux que difficile à relever. Dans une France où cohabitent des institutions d’enseignement supérieur et de recherche d’une grande diversité, dont les moyens financiers sont limités, qui peinent parfois à s’internationaliser et qui sont depuis quelques années soumis à une concurrence accrue, il importe de proposer un nouveau modèle universitaire qui permette de sortir du « milieu de gamme » (Jean-Marc Schlenker, ancien président du comité de suivi de la loi de 2007) dans lequel on le confine trop souvent.
Pour cette raison, il n’est d’autre solution que de se réinventer en intégrant dans un projet commun des institutions d’excellence variées afin de créer une Université de recherche internationale qui, grâce aux fonds I-SITE, gagnera de manière décisive en visibilité et en attractivité.”
François Germinet, Président de CY Cergy Paris Université